Grand ma' t'as dans le viseur ! ▸ Moi c'est : Lux mais les plus proches m'appellent : Billy, Rosenbach ou Xul , ils disent que je suis quelqu'un de : chiant, une gamine insupportable, qui passe son temps à emmerder son monde. Sachez que j'ai : 23 ans et que je suis : pas difficile. , d'ailleurs mon coeur est : libre , je suis : célibataire Je réside au : quartier sud, dans un immeuble miteux. et j'occupe mes journées en tant que : revendeuse de weed et livreuse de pizza. ▸ Sur le net on me prénomme : ©smmg , mais mon vrai prénom est : Marie La célébrité sur mon avatar n'est autre que : Selena Gomez, duh ! , je remercie par la même occasion : ©smmg Je suis sur le forum depuis le : 10/03/2015 et j'ai posté(e) un tas de messages : : 409 Mes points scrabble : : 405 Champs Libre :
ABOUT LUX
"when all fades away my home will still be the same."
- caractère de merde:
Emmerdeuse de première. ▸ Grosse camée. ▸ ▸ S'énerve facilement et en vient rapidement aux mains. ▸ Est plutôt fidèle en amour, comme en amitié, sauf quand elle est vraiment arrachée. ▸ A la critique facile. ▸ Est plutôt bavarde, sauf tôt le matin.
Lux est actuellement livreuse de pizza, après s'être faite virée de plusieurs petits boulots. ● Elle revend de l'herbe, ce qui lui permet d'arrondir ses fins de mois et de payer son loyer. ● Elle loue un appartement ridicule, dans le quartier Sud de Belle Fleur, dans lequel elle n'a que très peu de meuble. Elle dort d'ailleurs sur le vieux canapé qu'elle a récupéré dans une friperie. ● Elle consomme principalement du cannabis et du tabac. Elle ne touche pas aux drogues dures et si vous lui demandez pourquoi elle vous dira que c'est simplement parce que c'est trop cher. ● Son téléphone est un vieux nokia, sur lequel elle joue à snake pendant ses heures de pause. ● Elle conduit un vieux vespa beige qu'elle a depuis ses 16 ans. ● Elle se nourrit principalement de nouilles instantanées et est une grande consommatrice de thé. ● Le seul objet de valeur chez elle est sa télévision, qui est pourtant loin d'être de qualité, sur laquelle elle regarde ses séries préférés ainsi que bon nombre d'émissions de télé-réalités. ● Elle a un frère aîné, une demi-sœur, plus jeune qu'elle de quelques années, et deux demi-frère cadets qui son jumeaux. ● Sa mère et son beau père l'on foutu à la porte l'année de ses 21 ans. ● Ses parents sont d’origine mexicaine et parlaient très souvent en espagnol à la maison. Elle le parle donc couramment. ● Elle a gardé contacte avec ses amies de lycée et fait régulièrement la fête avec eux. ● Il lui arrive de voler dans les magasins (principalement de la nourriture et des produits de beauté). Elle c'est d'ailleurs faite prendre à deux reprise.
LUX ET LES GENS
TEDDY la voisine et collègue qu'elle martyrise. + MIRABELLE le plan cul régulier. + NINA la grande sœur de cœur qui la sauve de ses embrouilles. + KERRIE la jalouse. + MAKSIM le flic à qui elle fait les yeux doux pour se sortir de la merde. + KLAUS le drogué qui va lui attirer des ennuies.+ NANA la meuf qui la stalk.
- Spoiler:
ARTHROSE + CHOLESTEROL + ALZHEIMER + PARKINSON
RP TIME
TEDDY + La folle course aux pizzas.
KLAUS + La lune est le soleil des statues.
NINA + A défaut de ne pas avoir d'enfant j'ai tout d'une mère.
NANA + grocery shopping.
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Sujet: Re: Nadie & Sam • Remember when we were such fools and so convinced and just too cool Sam 18 Avr - 18:05 | |
| Ce soir je n'étais pas d'humeur. La journée était allée crescendo. Tout commençait bien, j'avais passé la mâtiné avec mon frère à faire les boutiques, puis on avaient eu le malheur de croiser Grand Ma. Refusant qu'elle ne gâche cette belle journée de printemps, j'avais gentiment abandonné mon jumeau avec la vieille pour partir me réfugier au starbucks du coin. Malheureusement pour moi le barista était un incapable. En fin d'après-midi je rentrais donc chez moi avec un latté caramel au goût étrangement salé et un brownie brûlé. Heureusement le reste de mes achats était parfait, bien que honnêtement, ces fringues me rappelaient combien mon styliste me manquait. Vers 19 heure, après avoir pris un bon bain, je décidais de me coller devant la tv. Mauvaise idée puisque cette dernière s'occupa d'achever ma bonne humeur en diffusant un superbe documentaire, dans lequel je figurais et dont le titre évocateur : ''que sont-ils devenus ?'' ne manqua pas de me faire retomber dans ma petite dépression. Je décidais alors, en accord avec moi-même, que j'avais besoin d'un verre. C'est donc vers 20 heure, que je poussais la porte de mon bar préférer. Je m'installais au bar, commandant une bière pour commencer, puis une autre, puis un mojito... La culpabilité d'avoir fui Los Angeles et les mauvais souvenirs qui me hantaient, s'envolèrent enfin. Je me sentais mieux, enfin, si on voulait. Je savais que cette agréable sensation d’euphorie n'allait pas durée, qu'elle allait être rapidement remplacée par des vomissements et un mal de crâne horrible. Demain matin la culpabilité sera de nouveau là, certainement plus présente encore que la veille, et j'aurais honte de moi quand ma colocataire me réveillera à 17 heure. Je le savais, mais je buvais quand même. Ce n'était pas tout les soir, heureusement. Mais il faut l'avouer que depuis mon retour à Belle Fleur: ça m'arrivait bien trop souvent.
« Toujours à te bourrer la gueule parce que t'a peur de la réalité hein ? » Je redressais la tête, lâchant enfin la paille en plastique noir qui trempait dans mon mojito. Je restais silencieuse, le regardant nettoyer son bar. Dire qu'il y a quelques temps de ça, il était assis à coté de moi et divaguait déjà tant il avait bu.... Cette période me manquait vraiment. Aujourd'hui il faisait son rabat-joie derrière son bar et je ne pouvais plus rien lui dire sans me prendre des reproches. Il ne m'écoutait plus râler sur ma misérable existence et de toute façon : je n'avais plus vraiment envie de me confier à lui. L'entendre me dire ça, m'arracha un léger sourire. Venant du mec qui avait une réputation d'alcoolique dans toute la ville : c'était gonflé. « Continue de boire, au moins comme ça t'aura une excuse pour faire tes conneries. » Ajouta t-il toujours aussi froidement, sans relever la tête de son comptoir. « T'as un problème ? » Lâchais-je enfin, froidement, sentant la colère me nouer la gorge. Je le regardais les yeux toujours vissé à son foutu comptoir, déjà suffisamment propre. « Pfff, Un vrai lâche... » Ajoutais-je dans un murmure en retirant la paille de mon verre pour en boire un gorgée. Je reposais mon verre bruyamment sur le comptoir avant de poursuivre sèchement. « T'es mal placé pour me faire la morale. J'ai eu une sale journée, j'ai le droit de boire un peu. » Un peu... c'était peu dire. J'avais déjà bu deux bières et je terminais mon premier mojito. J'avais déjà la tête qui tournait et la nuit ne faisait que commencer.
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