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| | Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... | |
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Auteur | Message |
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Sujet: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 15:34 | |
| Mackenzie Elyana Anderson On me surnomme souvent Mack, Ely, voir même Anderson quelques fois + j'ai 30 ans et je suis née le 24 décembre 1984 à Belle Fleur + je suis célibataire et totalement hétérosexuelle + j'ai un compte bancaire bien rempli, mais je ne fais pas n'importe quoi de mon argent pour autant + je suis lieutenant de police depuis déjà quelques années + côté caractère, je suis généreuse, fidèle, ambitieuse, fêtarde, attentionnée, sociable, observatrice, têtue, maladroite, gaffeuse, rancunière, impulsive, maniaque, hypermnésique + je suis allergique aux abeilles + j'ai peur des araignées, des insectes rampants, du vide et des aiguilles + j'ai un diplôme en art du spectacle + je suis asthmatique et je ne supporte pas l'odeur de la cigarette + je ne bois que très rarement de l'alcool, mais quand je sors je m'autorise parfois une ou deux petites bières + j'adore le café au lait, le cappuccino et le chocolat chaud + j'ai un tatouage en haut de la cuisse droite et un petit grain de beauté sur la joue droite + je ne dors jamais sans avoir mon arme à porté de mains + je vérifie toujours plusieurs fois que la porte de chez moi est bien fermée à clé, avant d'aller me coucher + le matin j'aime prendre mon petit déjeuner devant les dessins animés quand j'ai le temps + j'adore l'univers Disney et celui d'Harry Potter + je suis une grande rêveuse et je rêve un jour de rencontrer un nouveau prince charmant, mais pas dans l'immédiat, en ce moment je suis plutôt en train d'essayer de faire le deuil d'une histoire d'amour qui s'est tragiquement terminée + il y a peu, j'ai appris que j'avais été adoptée. Mes parents biologiques n'ayant pas les moyens d'élever trois enfants, se sont séparés de moi, seulement quelques heures après ma naissance + l'homme qui a tué mon fiancé, a apparemment sévi dans ma ville natale + je suis de retour à Belle Fleur, depuis trois semaines, maintenant + ... [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | Liens à ajouter + Peyton (jumelle) + Matt (jumeau) + Will (collègue de travail) + Casey (meilleur ami & attirance) + Liam (frère aîné adoptif) + .. |
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Dernière édition par Mackenzie E. Anderson le Mer 22 Avr - 19:38, édité 1 fois |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 15:38 | |
| prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar jendy. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. |
prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar jendy. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. |
prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar jendy. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. |
prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar jendy. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. |
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Dernière édition par Mackenzie E. Anderson le Mer 22 Avr - 16:16, édité 1 fois |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 15:40 | |
| prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. |
prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. |
prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. |
prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar mimi. |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 16:28 | |
| A vous les p'tits loups Par contre essayez d'avoir au moins un début d'idée si vous voulez un lien, parce que je ne veux pas être la seule à me creuser la tête pour trouver quelque chose |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 18:06 | |
| Moi? Et oui, j'ai une petite idée, donc tu auras pas à galérer toute seule |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 18:21 | |
| Oui bien sûr mademoiselle, qu'est-ce qui te tenterait ? |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 18:46 | |
| Alors je m'étais dit qu'on pouvait partir de mon lien avec Peyton. Comme Adelina n'apprécie pas vraiment Peyton (à l'époque peyton n'était pas très sympa avec elle) et du coup quand elle croise Mackenzie elle l'évite comme de la peste. --> Adelina confond mackenzie avec peyton. Après j'avais pensé à 2 scénarios: Mackenzie est agacé et décide de se confronter à Adelina pour lui demander ce qui ne va pas. ou Mackenzie finit par l'aborder un jour. A force de se croiser, elle trouvait ça plus simple de demander de l'aide à un visage "connu". Elle lui demande son chemin etc. Adelina est en mode wtf... elle comprend pas ce qui se passe et croit que Peyton (en réalité Mackenzie) essaie de lui jouer un mauvais tour encore... Bref Adelina est totalement perdu. Elle se demande pas si Peyton est devenue amnésique ou je-ne-sais-quoi |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 19:48 | |
| Alors j'aime beaucoup tes deux idées et des deux je pense que la première conviendrait plus à Mackenzie, vu son caractère ^^ |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 19:52 | |
| D'acc on fait comme ça et après on regarde comment évolue la relation de nos personnages en rp?
Sinon, je me demandais, est-ce que Mackenzie a déjà rencontré sa jumelle? Ou connait l'existence de sa jumelle? |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 19:55 | |
| Oui pour l'évolution ce serait marrant de voir ça en rp :) Sinon, non elle n'a pas encore rencontré sa jumelle, elle sait qu'elle en a une ou deux, enfin que ses parents biologiques ont eu trois enfants en même temps, mais c'est tout. Il y a de fortes chances qu'elle apprenne qu'elle a une jumelle grâce à Will, dans notre sujet actuel |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 21:17 | |
| Je viens voir pour notre lien Je pense qu'en apparence le lien pourrait être positif. Matt pourrait se mettre Mackenzie dans sa poche en se faisant tout gentil et tout aimant. Mais derrière, je vois bien Matt ne pas supporter Mackenzie, il aurait l'impression qu'elle débarque pour tout déballer de son côté criminel à Peyton. Et puis, Matt est le meilleur ami du tueur de Shane et (si j'ai bien tout compris) du tueur du fiancé de Mack xD Donc je doute que le lien puisse être totalement positif puisque Matt ne veut pas que son pote se retrouve en taule xD (Matt a lui même fait 6 ans à Seattle pour séquestration et torture même si Peyton pense qu'il a juste volé du pop-corn, petite naïve xD) |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 21:22 | |
| Espèce d'hypocrite ! Le jour où les frangines elles vont tout découvrir ce n'est pas en prison que tu vas aller Bref, sinon oui ton idée me va totalement, j'aime beaucoup, même si Mackenzie elle n'aime pas les hypocrites Et oui, ton meilleur ami a tué le fiancé de ma petite Mackenzie, le vilain |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 21:24 | |
| Fait gaffe, si Peyton découvre la vérité, j'ai prévue de la tuer alors si tu veux garder ta jumelle, tu diras rien Je sens que ça va être trop amusant, hâte de rp avec toi pour qu'on se découvre xD |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 21:25 | |
| Tu ne la tueras pas, parce que Will et moi, on est la pour protéger et le chantage ça ne prend pas avec moi Quand tu veux pour un rp :) |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 21:46 | |
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Grand ma' n'a rien contre toi ! Je suis sur le forum depuis le : 15/04/2015 et j'ai posté(e) un tas de messages : : 518 Mes points scrabble : : 570 Champs Libre : Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso • Infos sur votre perso
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 21:48 | |
| Nan mais oh faux frère, on se calme è-é |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mer 22 Avr - 21:50 | |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Jeu 23 Avr - 9:09 | |
| nous faut un lien !!! :)
j'ai un lien avec Peyon ( Jazz et elle sont amies)
Par contre petite question : est-ce que les gens savent que tu es sa soeur jumelle ? Genre Jazz sait qui tu es ou alors Jazz a pu te confondre avec sa soeur
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Jeu 23 Avr - 14:06 | |
| Pour le moment Peyton et Mackenzie, elles-même ne savent pas qu'elles sont jumelles, donc mis à part Will, qui est entrain de le découvrir dans notre rp, personne ne le sait |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Jeu 23 Avr - 15:43 | |
| Bon bah soit on part sur un truc du genre Jazz la prend pour Peyton et on trouve une idée Soit on voit voit notre lien après que Peyton apprenne son existence |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Jeu 23 Avr - 16:18 | |
| je pense que la plupart de mes liens vont partir du fait que les gens la confonde avec Peyton, mais ça ne me gêne pas, c'est marrant en rp ^^ |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Dim 31 Mai - 11:46 | |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mar 2 Juin - 9:51 | |
| Qu'est-ce qu'il est sexy mon pompier |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... Mar 2 Juin - 19:02 | |
| Un lien? |
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Sujet: Re: Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... | |
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| Mackenzie ► Si tu as pas de Curly, prend des amis... | |
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